Formateur 326,
un peu de dataviz (4)

Publié le 14 octobre 2020, par Richard Carlier
Série: Formateur 326
#cartographie #formation #OpenData #OpenStreetMap

Avec toutes ces péripéties, le jeu de données est relativement propre. Mais, faute d’information réellement complète, ne permet que de faire quelques visualisations cartographiques.

Alors, voyons la représentation de la répartition des centres de formation informatiques en France… en guise de conclusion de la série.

De petits points…

Première représentation, un petit point sur chaque centre.

 

On constate la présence de centres de formation français partout dans le monde.

Même s’il y a peut être quelques centres domiciliés à l’étranger, cela vient sans doute du fait de l’imprécision des étapes précédentes…

Un peu de chaleur

En zoomant sur la France (à gauche) et la région parisienne (à droite, un peu plus l’objet de mon étude) on constate que la densité des centres de formation reflète (sans surprise) celle de zones de population et d’activités classiques. Grandes villes d’une part, et d’autre part le centre de Paris, l’Ouest parisien avec La Défense…

Pas réellement de surprises donc.

Découpage par régions / départements

La même conclusion ressort des cartes choroplèthes avec un découpage plus administratif.

Bon…

Recentrons nous…

L’idée n’était pas de faire une étude complète sur les centres de formation spécialisés dans Informatique, traitement de l’information, réseaux de transmission des données (le code 326), mais de pouvoir me constituer un fichier de prospection personnel, et cibler les centres à proximités de chez moi, pour y proposer mes éventuels services.

Le foisonnement des centres et surtout le peu d’informations exploitables (ni site web, ni téléphone, ni contact…) font que le fichier est au final moins intéressant que je n’espérait.


Digital Campus Paris, à son ancienne adresse…

Un premier coup d’œil au fichier téléchargé m’avait déjà renseigné sur cela, mais…

Mais je suis joueur. Les aléas de la qualité du fichier récupéré m’a emmené dans un travail intéressant de jointure entre différents fichiers (Bano, Nominatim… voir les épisodes précédents). La méthode suivie est loin d’être inintéressante, et pourra sans doute me resservir sur d’autres fichiers, ou dans le cadre de mes cours.

Pour le business, peut-être faudra-t-il que j’explore un autre jeu de données…

Mais ceci est une autre histoire.

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